Tamino — Léo MUSCAT
© Jérémy Torres
Léo MUSCAT, ténor au timbre riche et expressif, s’attache à une approche théâtrale du chant, où musique et texte se rencontrent dans un geste dramatique.
Il débute sa carrière comme comédien auprès d’Olivier Py, qu’il assiste à la mise en scène (Prométhée Enchaîné, La Jeune Fille, le Diable et le Moulin), avant d’interpréter plusieurs rôles dans ses spectacles, notamment à l’Opéra de Paris, au Festival d’Avignon et au Théâtre de la Ville.
Formé au chant à l’École Normale de Musique de Paris auprès de Daniel Ottevaere, François Le Roux et Mireille Larroche, il aborde rapidement les grands rôles du répertoire, de Monteverdi (Testo, Il Combattimento di Tancredi e Clorinda) à Verdi (Alfredo, La Traviata), en passant par Offenbach et Christiné, explorant les partitions avec un goût prononcé pour la scène et le jeu.
En tant que concertiste, il a notamment chanté la Passion selon Saint-Jean de Bach, le Messie de Haendel, le Requiem de Mozart, ainsi que les Stabat Mater de Rossini et de Dvořák, sous la direction de Mathieu Bonnin et de l’ensemble Sequentiae. La souplesse et la sensibilité de son interprétation le destinent au répertoire mozartien, qu’il a abordé en chantant Ferrando (Così fan tutte), Don Ottavio (Don Giovanni), Calandrino (L’Oca del Cairo), et aujourd’hui Tamino dans La Flûte Enchantée au LabOpéra Hauts-de-Seine.
Ses engagements l’ont mené en France et à l’étranger (Chine, Japon, Liban, Belgique). Il est également fondateur et directeur artistique de sa compagnie lyrique, Le Marteau qui Chante, où il écrit des livrets, met en scène et chante, explorant le lien entre théâtre, musique et création contemporaine.
Pamina — Marine SYLF
« D’un souffle et de deux voiles, l’Azur et l’Idéal,
Théâtre et musical se tressent l’un en l’autre… »
Après un parallèle d’apprentissage lyrique et scénique au Conservatoire à Rayonnement Régional d’Orléans (Mass – L. Bernstein, Jeanne d’Arc au Bûcher – A. Honegger, etc.), au contact de J-M Cochereau, Sh. Coste, H. Obadia pour la musique et C. Maltot, F. Pruveault pour le théâtre, Marine SYLF fait cap vers le Conservatoire National d’Art Dramatique de Paris, d’où les vents du Grand-Est la portent pour une escale d’une année à Moscou… Elle s’y partage entre jeu d’actrice et mise en scène d’un spectacle primé…
De retour, son voyage littéraire s’ouvre avec de beaux rôles chez les auteurs classiques qu’elle affectionne tant (Mara – Claudel ; L’Infante – Corneille ; La princesse – Marivaux ; Dona Casilda – Hugo ; Hermione – Racine ; etc.) et dont les compositions sur mesure de Camille Rocailleux viennent rythmer l’élan lyrique (m-e-s Y. Beaunesne)… Son parcours avec l’Encyclopédie de la Parole – Joris Lacoste, reste une expérience marquante dans l’exploration des possibles de sa voix…
La Sylf se réjouit particulièrement de replonger dans la musique de Mozart, gardant pour gouvernail le fameux poème de Baudelaire « Correspondances » pour partager avec le public ce bonheur de l’échange artistique renouvelé…
La Reine de la Nuit — Zoé GOSSET
© Olivier Allard
Soprano colorature française, Zoé GOSSET se produit Salle Cortot à Paris, au Théâtre Royal du Parc de Bruxelles, à l’Opéra de Clermont-Ferrand, l’Opéra de Tours, l’Auditorium St Pierre des Cuisines de Toulouse, au Théâtre Montansier de Versailles, au Théâtre de la Gaîté Montparnasse, au Théâtre des Sablons de Neuilly, au Phénix de Valenciennes…
Récitaliste et chambriste demandée, elle forme un duo avec la pianiste Sarah Margaine, et partage également la scène avec la mezzo-soprano Julie Nemer, la pianiste Louise Akili, le Trio Ernest, l’Orchestre de l’Opéra de Massy, l’Orchestre des Portes de l’Essonne, l’Orchestre Valentiana… Depuis 2021, elle tourne avec la Compagnie Opéra Nomade, qui propose des opéras à destination du jeune public.
Passionnée par la rencontre avec de nouveaux publics, titulaire du Master d’Affaires culturelles de SciencesPo Paris, elle participe en 2015 à la création du festival de musique de chambre en Cotentin « Les Fieffés Musiciens » dont elle est membre du comité artistique. Pédagogue enthousiaste, elle est également professeure de chant lyrique au conservatoire d’Antony.
Zoé se forme à la Hochschule de Leipzig (Allemagne) et au CNSMD de Paris. En 2018, elle remporte le 1er Prix du Concours international de Chant lyrique de Vivonne.
Elève de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm sous le tutorat du compositeur Karol Beffa, elle soutient sa thèse de musicologie à Sorbonne Université sous la direction de Gilles Demonet en 2023.
Sarastro — Pierre-Michel DUDAN
Pierre-Michel DUDAN est un artiste aux multiples talents: chanteur (baryton) mais également comédien et musicien (flûtiste).
En tant que comédien, il joue dans des pièces classiques de Molière, Goldoni, Shakespeare ou Feydeau… Mais également dans un répertoire plus contemporain : La cuisine d’A. Wesker, Pling de N. Fillion ou encore Nuit gravement au salut d’H.-F. Blanc à Paris au Théâtre de la Huchette, au Théâtre le Lucernaire et en tournée en France. Il a joué également le rôle de Grandgousier dans le spectacle Rabelais au Théâtre Montansier à Versailles et au Théâtre 13 à Paris.
En tant que chanteur lyrique, il aborde le répertoire de l’Opérette : Mesdames de la Halle d’Offenbach; Docteur Miracle de Bizet; L’amour masqué de Messager et Guitry ainsi que celui de l’Opéra : Le mariage secret de Cimarosa ; Cosi fan tutte et La Flûte enchantée de Mozart… Il a chanté récemment le rôle de Bartolo dans Le Barbier de Séville de Rossini, mais également Germont dans La Traviata de Verdi et Gessler dans Guillaume Tell de Grétry.
Il joue et chante dans des spectacles associant textes littéraires et airs lyriques : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais et Mozart ; L’ Odyssée d’Homère et Monteverdi ; Le Malade Imaginaire de Molière et Charpentier et Le médecin malgré lui de Molière et Gounod, au festival d’Avignon et en tournée dans toute la France.
Il interprète le rôle de Javert dans le spectacle Les Misérables en concert au Palais des Congrès de Paris, dans les Zénith de France et à l’Étranger (Belgique, Corée du Sud, Chine…)
La saison dernière, il a chanté Dulcamara dans L’élixir d’amour de Donizetti; le rôle-titre du Mari à la porte d’Offenbach; Figaro dans une adaptation jeune public du Barbier de Séville de Rossini et Méphisto dans Faust de Gounod.
Il jouera cette saison le rôle de Philidor, compositeur du XVIIIe siècle et champion d’échecs (!) et le rôle-titre de Monsieur Choufleuri restera chez lui… d’Offenbach. Il chantera également dans un récital de chansons de Léo Ferré et retrouvera Laurent Brack et l’ensemble orchestral des Hauts-de-Seine pour la magnifique Missa di Gloria de Puccini.
Papageno — Marco TARRIER
Né en 2000, Marco TARRIER intègre le conservatoire d’Ivry-sur-Seine à l’âge de 6 ans où il étudie l’alto et le chant lyrique durant une quinzaine d’années. En 2024, il interprète Brissac dans l’opérette Les Mousquetaires au Couvent puis Pluton dans Orphée aux Enfers d’Offenbach au Théâtre Antoine Vitez d’Ivry-sur-Seine.
Parallèlement, de 16 à 19 ans, il suit les cours de l’Académie Internationale de Comédie Musicale à Paris où il pratique la danse, les claquettes, la comédie et divers styles de chant : rock, jazz, comédie musicale et lyrique.
Depuis, il est engagé sur différents spectacles à Paris : Peter Pan – le musical à Bobino dans le rôle de Mr. Mouche, Zorro ou le fléau de Capistrano au Théâtre Clavel dans le rôle du Sergent Gonzales, le lutin Piplette dans Au Pays du Père Noël au Théâtre des Mathurins, Soldat Balthazar dans Clémenceau – le musical au Palais des Congrès de Paris…
En 2022, il est également engagé comme choriste pour le Yellow Socks Orchestra sur la tournée française du ciné-concert Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours et également la tournée Joe Hisaishi Symphonic Concert : Music from the studio Ghibli films of Hayao Miyazaki, dirigée par le compositeur lui-même : Joe Hisaishi.
Il performe également à Disneyland Paris dans le spectacle La Petite Sirène et Le Roi Lion et les Rythmes de la Terre, où il incarne Pumbaa depuis maintenant 3 saisons (2024-2026).
Papagena — Magali LÉGER
© Anthéa Cintract
Formée au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris auprès de Christiane Eda-Pierre, Magali LÉGER y obtient un premier prix à l’unanimité. Nommée en 2003 dans la catégorie « Révélations » des Victoires de la Musique Classique, elle développe depuis une carrière mêlant opéra, musique baroque, création contemporaine et projets transversaux.
Elle se produit sur de nombreuses scènes françaises et internationales (Opéra de Lyon, Festival d’Aix-en-Provence, Opéra-Comique, Théâtre des Champs-Élysées, Bolchoï de Moscou, Barbican Centre de Londres, BAM de New York…) et collabore avec des chefs tels que William Christie, Marc Minkowski, Emmanuelle Haïm, Michel Plasson ou Leonardo García Alarcón. Son parcours l’a également menée à travailler avec des metteurs en scène comme Laurent Pelly, Jérôme Deschamps, Daniel Mesguich, David McVicar ou Pierre Guillois.
Son répertoire s’étend de Mozart et Rameau à la musique contemporaine, avec un goût marqué pour les formes plurielles mêlant théâtre, musique et mouvement. Elle participe à plusieurs créations du compositeur Michaël Levinas, et prend part régulièrement à des projets singuliers où se croisent opéra, comédie musicale et théâtre visuel.
Première Dame — Ombeline SÉGOT
© Matthieu Ségot
La Flûte Enchantée ? Voilà qui tombe à pic : Ombeline SÉGOT manie la flûte traversière depuis ses jeunes années, quinze ans de complicité musicale avant que la magie ne l’emporte du côté du chant – ou plus exactement, à défaut du « enchanté », du « en chantant » ! Formée à Courbevoie auprès de Catherine Cardin, puis à Paris sous la houlette de Claudine Le Coz, elle affine aujourd’hui ses sortilèges vocaux auprès de Magali Léger.
Sa Première Dame sert son royaume sans faillir, mais, à l’inverse de son personnage – qui, s’il se risquait sur d’autres partitions, attirerait les foudres de la Reine de la nuit – Ombeline s’aventure avec bonheur sur les chemins sacrés : soliste dans La Création de Haydn, la Grande Messe en ut de Mozart, le Messie de Haendel, Gallia de Gounod, les Magnificat de Bach et de Vivaldi… Elle fait ses premiers pas sur scène en 2011 avec la troupe Oya Kephale, avant de s’emparer des rôles de Siebel (Faust) avec la précédente édition du LabOpéra Hauts-de-Seine, Mercedes (Carmen), ou Didon (Didon et Énée).
Mais attention : que Sarastro garde son sérieux ! Ombeline nourrit un penchant assumé pour l’esprit frondeur des opérettes d’Offenbach (Wanda dans La grande Duchesse de Gerolstein, Fiorella et Fragoletto des Brigands, Leaena de la Belle Hélène…), où malice, travestissements et rythmes endiablés font voler en éclats toute sagesse.
Enfin, la partition d’Ombeline se prolonge en ensemble, au sein du quintette vocal et instrumental Il dolce suono, qui fait résonner des airs d’hier et d’aujourd’hui sous les cieux parisiens.
Deuxième Dame — Mathilde PAJOT
Mathilde PAJOT découvre enfant sa passion pour le chant et le théâtre à l’École maîtrisienne régionale des Pays-de-la-Loire à Angers. Elle se forme au conservatoire de Pontivy, au Pôle supérieur de Rennes dans la classe de Stéphanie d’Oustrac et au CRR de Paris dans la classe d’opéra baroque de Stéphane Fuget. Elle est diplômée de Sciences Po Rennes et en littérature germanique.
Passionnée de musique ancienne, elle interprète durant ses études, notamment avec le Banquet céleste : Iphise (Dardanus, Rameau), Medea (Teseo, Haendel), Créuse et Nérine (Médée, Charpentier), Ireno et Fileno (La Morte d’Orfeo, Landi), Filandra (Le Nozze in sogno, Cesti). A l’Opéra de Rennes, elle joue Feklusa (Katja Kabanova, Janacek), Midwife (Red Waters) et participe à un récital de Sabine Devieilhe et Mathieu Pordoy.
Mathilde chante au sein de troupes du Grand Ouest et incarne Vénus (Orphée aux enfers, Offenbach), Hélène (La Belle Hélène) et Carmen. En 2026, elle sera de nouveau Hélène et interprètera la Deuxième Dame dans La Flûte enchantée avec le Labopéra Hauts-de-Seine.
Elle fait partie du chœur de chambre Mélismes (Gildas Pungier) depuis 2014 et a participé à de nombreuses productions d’opéras et concerts. Mathilde se produit en duo avec le guitariste et théorbiste François Fontes.
Troisième Dame — Lou THOMAS
Une rumeur court sur la santé de l’imaginaire, Lou THOMAS préfère l’idée que le rire et l’émerveillement sont mobilisables de tout temps. C’est à un très jeune âge, dansant et chantant à tue-tête devant Singing in the rain qu’elle décide de faire de la scène son métier. Elle se forme à la danse, au violon et au théâtre, espérant un jour égaler Gene Kelly… Elle s’imagine rebelle et décide de partir se discipliner auprès de l’Académie des Arts de Minsk. Elle y découvre sa voix et interprétera sur scène Audrey dans The Little Shop of Horrors, et Sally dans Cabaret.
Malheureusement terrible en acrobatie et pourtant fascinée par le travail physique, elle pousse sa voix jusqu’au lyrique, au Conservatoire de Pantin, au Pôle Lyrique d’Excellence de Cécile de Boever , au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, où elle apprend avec plaisir que sa tessiture de mezzo va l’amener à chanter des aristocrates passionnées comme Dorabella (Mozart), des sulfureuses tziganes avec Mercedes (Bizet), des reines légendaires telles que Shéhérazade (Ravel) et aujourd’hui une Dame de la Reine de la Nuit…
Louise est gourmande, elle apprécie les nourritures variées et équilibrées. Elle dévore du baroque en ensemble jusqu’à goûter à la création contemporaine à l’Académie Voix Nouvelles de la Fondation Royaumont. Cela demande finalement une belle dose d’imagination de jouer les villageoises pieuses autrichiennes à l’Opéra Royal de Versailles (La fille du régiment), des bêtes et grenouilles sur la scène de l’Opéra Garnier (L’enfant et les sortilèges), et faire résonner le Requiem de Mozart dans Notre Dame de Paris (Maîtrise de Notre Dame).
Fidèle au vieil adage « plus on est de fous, plus on rit », Lou veut partager avec les nouvelles générations dans les écoles et dans les salles, intervenante et interprète au service des futures rêveries.
Monostatos — Nicolas RETHER
Selon la légende familiale, le petit Nicolas chantonnait l’air de la Reine de la Nuit à l’âge de 4 ans en jouant sur le tapis. Ce n’est pas la raison pour laquelle il devint ingénieur de l’École Centrale, mais cela a dû influer sur la suite.
Après son diplôme, Nicolas RETHER se forme auprès de Xavier le Maréchal à Paris. Il obtient son diplôme du Conservatoire de Reims avec Valérie Millot.
À l’opéra, il a – entre autres – incarné les rôles d’Albert Herring dans l’opéra éponyme de Britten, le Comte Almaviva (Il Barbiere du Siviglia de Rossini), le Remendado (Carmen de Bizet), Don Ramiro (La Cenerentola de Rossini), Nemorino (L’Elisir d’amore de Donizetti), Don Ottavio (Don Giovanni de Mozart), le baron Puck (la Grande Duchesse de Gérolstein d’Offenbach), Pâris (La Belle Hélène d’Offenbach), Falsacappa (les Brigands d’Offenbach) et Mime (Das Rheingold de Wagner).
Il se produit également comme soliste d’oratorio, notamment dans le Magnificat de JS Bach, Mass de Bernstein, le Te Deum de Charpentier, le Messie de Händel, de nombreuses œuvres de WA Mozart, Carmina Burana d’Orff et la Messa di Gloria de Puccini.
Nicolas Rether s’est produit sur la scène de la Philharmonie de Paris, des opéras de Clermont-Ferrand, Limoges, Paris & Reims. Dijonnais d’adoption, il collabore avec le Cortège d’Orphée, le LabOpéra Bourgogne, l’Opéra de Dijon et l’Orchestre Dijon Bourgogne.
Premier Prêtre / Deuxième Soldat —
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Deuxième Prêtre / Premier Soldat — Mali ZIVKOVIC
Mali Zivkovic est né à Portsmouth, en Angleterre, et a grandi en Bourgogne. Il a débuté son parcours lyrique au CRR de Besançon dans la classe d’Aniella Zins en 2015. Deux ans plus tard, déjà diplômé et lauréat du Concours Jeunes Talents, il fait la rencontre significative de Stuart Patterson qui le guidera jusqu’aux portes de l’opéra de Lausanne et de la scène nationale (théâtre de Bastia – Tamino). Il collabore avec de nombreuses personnalités inspirantes comme Stefano Poda, Paolo Fanale, Diego Fasolis, Jacques Blanc, Laurent Campellone, Donato Sivo, ou encore Susan McCulloch, professeure renommée de la Guildhall School of Music. En 2024, Mali Zivkovic a été boursier de la Jeune Scène Lyrique de l’Arcal. Il fera la connaissance de mentors importants comme Chantal Santon-Jeffery, Marie-Ange Todorovitch et Nicole Fallien.
L’univers lyrique n’est pas l’unique bagage de Mali Zivkovic. C’est en tant que trompettiste et chanteur de jazz, diplômé du Centre des Musiques Didier Lockwood qu’il rencontrera la scène parisienne en 2010. Il sera leader ou sideman de plusieurs ensembles avec qui il enregistrera plusieurs disques et EP et partagera de belles scènes comme le Baiser Salé ou le FIMU de Belfort.
L’écriture et la composition sont à son chevet comme autant de moyens de se rencontrer à travers l’art.
Troisième Prêtre —
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